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friedrich nietzsche - Page 4

  • Le gai savoir de Nietzsche...

    Les éditions du CNRS viennent de publier un essai d'Olivier Ponton intitulé Le gai savoir de Nietzsche - Une manière divine de penser. Professeur de philosophie en classes préparatoires et spécialiste de Nietzsche, Olivier Ponton est notamment l'auteur de Nietzsche, philosophie de la légèreté (Walter de Gruyter, 2007).

     

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    " 1882 Nietzsche publie Le Gai savoir, un texte joyeux, ironique.
    Après Choses humaines, trop humaines et Aurore, c’est l’œuvre d’un convalescent qui retrouve toutes ses forces. Il suffit de lire le titre du prologue : « Plaisanterie, ruse et vengeance », ou celui de l’appendice : « Chanson du prince Hors-la-loi ».
    C’est dans ce livre de la maturité que sont « lancées » la mort de Dieu (aphorisme 125) et l’éternel retour (aphorisme 341), deux pensées des plus importantes et des plus énigmatiques auxquelles le nom de Nietzsche demeure attaché.
    Si Dieu est mort, et qu’on ne croit plus en lui, pourquoi faut-il encore l’annoncer à des incroyants ? Si je dois revivre ma vie éternellement à l’identique, est-ce avec le souvenir de l’avoir déjà vécue ? Et quelle différence, si je la revis ?
    Ce livre tente de comprendre la logique et la fonction de ces deux pensées. Convoquant d’autres auteurs (Pascal, Freud, Foucault, Bourdieu, Castoriadis, Jankélévitch) pour mieux éclairer l’expérience que Nietzsche s’efforce également de susciter en nous, Olivier Ponton reconstitue la cohérence si singulière du Gai savoir, ce chef-d’œuvre d’écriture aphoristique. Est ainsi mise en lumière une conception originale de la pensée, dont le pouvoir, moins théorique que pratique, est d’abord un pouvoir d’institution : institution du sens et de la valeur de la vie. "

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  • Quand Nietzsche et Wagner s'écrivaient...

    Les éditions Kimé viennent de publier la correspondance échangée entre Friedrich Nietzsche et Richard Wagner entre 1868 et 1878, de la première rencontre entre le jeune penseur et le compositeur à l'époque de leur rupture intellectuelle brutale. L'ouvrage est présenté par le philosophe Pierre Héber-Suffrin.

     

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    " Nietzsche et Wagner dans leur intimité ! Compte tenu de l'importance des personnages, la chose suffirait déjà amplement à mériter notre attention. Mais il y a bien plus pour mériter notre attention dans cette correspondance. Bien plus, car on assiste ici à la naissance de la philosophie de Nietzsche cherchant alors un modèle de sagesse chez Wagner censé ressusciter les tragiques grecs. Bien plus encore, car en voyant ici Wagner travailler à son rêve de Bayreuth et, plus profondément, à son ambitieux projet de renaissance de la civilisation allemande et en voyant ici le jeune Nietzsche tenter d'oeuvrer à ce double projet au côté de Wagner, son aîné de 31 ans, ce qu'on voit, à sa source, c'est le projet, plus ambitieux encore, de refondation de la civilisation humaine tout entière que Zarathoustra viendra chanter bien des années plus tard.
    Bien plus enfin, car on peut aussi à la lecture de ces lettres comprendre pourquoi les sentiments chaleureux dont elles témoignent devaient se transformer en farouche hostilité : on accepte mal de s'être laissé longtemps fasciner, subjuguer - fût-ce par le plus charmeur des artistes - quand on s'appelle Nietzsche. " 

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  • Nietzsche et l'éternel retour...

    " Avec le thème du Retour, Nietzsche critique bien entendu toute conceptualisation d’un temps linéaire, toute forme de conception linéaire de l’histoire, depuis le monothéisme biblique jusqu’à la philosophie historiciste de Hegel et de ses épigones. Mais il n’en revient pas non plus au temps cyclique des cultures archaïques. A la ligne, il n’oppose pas le cercle, mais la sphère. L’Eternel Retour est éternellement retour, il est éternel commencement. « A chaque instant l’Etre commence », dit Zarathoustra. " Alain de Benoist

     

    Les éditions Allia viennent de rééditer un recueil de Fragments posthumes sur l'éternel retour de Friedrich Nietzsche, avec une présentation de Lionel Duvoy.

     

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    " « Homme ! Ta vie tout entière sera toujours de nouveau retournée comme le sablier et s’écoulera toujours de nouveau. Puisses-tu alors retrouver chaque souffrance et chaque plaisir, chaque ami, chaque ennemi et chaque espoir, chaque erreur, chaque brin d’herbe, chaque rayon de soleil, la série intégrale de toutes choses. »
    La pensée de l’éternel retour a inspiré à Nietzsche certaines de ses pages les plus saisissantes. C’est dans ses très nombreux fragments posthumes que, pendant près de dix ans, il a développé, repris et approfondi cette idée.
    Afin de permettre un accès aisé à ces textes, la présente édition réunit un choix des fragments les plus significatifs se rattachant à ce thème.
    On parcourt ces lignes fiévreuses, pleines d’expérimentations et de fulgurances intempestives, comme on déambulerait dans le laboratoire d’un alchimiste : témoins d’une pensée abyssale, en pleine élaboration. "
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  • "Oui, l'homme fut un essai"...

    Les Presses universitaires de France viennent de publier un essai de Patrick Wotling intitulé  "Oui, l'homme fut un essai" - La philosophie de l'avenir selon Nietzsche. Ancien élève de l'Ecole Normale supérieure et professeur à l'université de Reims, Patrick Wotling est fondateur et directeur du Groupe international de recherches sur Nietzsche.

     

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    " L'ambition de cet ouvrage est d'éclairer la figure du philosophe telle que Nietzsche la redéfinit à travers dix études, chacune articulée autour d'une notion clé de la réflexion nietzschéenne.
    Ce que Nietzsche appelle la « philosophie de l'avenir » ne désigne pas un genre ni une variante de la philosophie, mais explicite la notion même de philosophie, une fois celle-ci mise en accord avec son exigence de radicalité en matière de questionnement ambition que, selon Nietzsche, les philosophes ne sont jamais parvenus à réaliser véritablement. Habitée par cette exigence, la philosophie se doit de prendre pour objet de réflexion ce qu'il y a de plus radical, ce qui conditionne toute pensée et plus largement toute activité humaine c'est-à-dire le mode de conditionnement lui-même, ce que Nietzsche désigne par le terme de « valeurs ». À titre de conséquence, on découvre alors que c'est le façonnement de l'homme et l'élaboration d'une nouvelle forme de vie qui est au coeur de son entreprise. "

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  • L’homo reactus, le progressiste et le conservateur...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Valentin Fontan-Moret, cueilli sur Philitt et consacré au conservatisme face au tempérament réactionnaire et au progressisme...

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    L’homo reactus, le progressiste et le conservateur

    Confondus à tort et à dessein dans le langage médiatique, le réactionnaire et le conservateur ont pourtant de quoi nourrir une querelle d’importance. Leur rapport au temps et à l’Histoire les distingue en même temps qu’il structure leur comportement politique et esthétique.

    Rien n’est moins évident que de définir le réactionnaire, et nombreux sont ceux qui continuent d’entretenir le flou. Si Joseph de Maistre et Louis de Bonald sont parfois présentés comme les réactionnaires archétypaux, ils ne répondent pourtant pas à cette définition communément admise, qui est aussi la nôtre, selon laquelle le réactionnaire souhaite un retour en arrière. Ces penseurs dont la téléologie était avant tout chrétienne, ont laissé la place à un vague héritier que nous appellerons homo reactus. Réactionnaire contemporain manifestement plus influencé par la pensée moderne, idéaliste et républicaine héritée des Lumières, que par la tradition eschatologique catholique, à l’image de messieurs Onfray et Zemmour. Ceux-là n’en ont guère après la Révolution française, mais bien plus après la très bourgeoise et parodique révolte de mai 68. Et pendant que l’homo reactus s’écharpe avec son pendant progressiste, le conservateur s’impose, avec une vision nouvelle de l’Histoire, comme une alternative salutaire.

    L’Homo reactus au pays du progrès

    En réalité, la petite armée des réactionnaires médiatisés valide à son insu les postulats de ses adversaires. La modernité, dans laquelle la Révolution française nous a jetés en donnant corps aux idées des Lumières, repose sur une téléologie moralisée, héritée de la pensée d’Hegel. La pensée moderne conçoit l’Histoire de façon linéaire : des âges sombres de la nuit des temps, l’humanité progresserait sans cesse vers la « fin de l’Histoire », soit vers le triomphe des Lumières libérales et rationalistes. Le temps qui passe serait synonyme de croissance irrépressible, inévitable et nécessaire du Dieu Progrès. Le sort de l’humanité serait la convergence de tous les êtres qui, unis dans le même Esprit – au sens hégélien du terme, et selon cette idée que la raison de l’homme est semblable à celle de Dieu – peuplent la Terre. Ainsi pour Hegel, l’absolu progrès est incarné par Napoléon Ier, porteur de la lumière révolutionnaire universaliste et républicaine, entrant majestueux dans Iéna en 1806 : là est la fin de l’Histoire, le progrès absolu qui gagnera le monde entier à force de conquêtes. À l’horizon se dessine l’avènement de l’État universel et homogène rêvé par le commentateur et continuateur d’Hegel Alexandre Kojève.

    Telle est l’idée qui continue d’alimenter la logique des progressistes de tout crin. La téléologie, d’imprégnation chrétienne, a paradoxalement gagné le camp de l’athéisme en contaminant, des Lumières jusqu’au marxisme, des philosophies anti-chrétiennes. Mais telle est aussi la conception que les réactionnaires contemporains valident, en s’affirmant en hommes du passé portant des idées du passé. Des idées révolues en somme, dépassées par la marche du prétendu progrès, confondue avec celle du temps, à laquelle ils assistent hagards et néanmoins contents de leur impuissance qui pare leurs propos d’un tragique dont ils goûtent l’amertume.

    Le rapport dialectique qui oppose le progressiste à l’homo reactus ne joue résolument pas en faveur de ce dernier, à moins que sa quête ne soit qu’esthétique. Lui qui valide la téléologie dominante et se place du côté des destitués, des perdants, de l’obsolescence, ne peut rien attendre du présent. Son discours est comme inopérant, inapte à influencer le cours des choses. Tout juste pourra-t-il convaincre quelques-uns de ses auditeurs les moins rongés par la morale médiatique du caractère aussi dramatique qu’inévitable de la marche du temps. Mais n’a-t-il pas tort sur ce point ?

    De Burke à Mohler : une philosophie alternative de l’Histoire

    Si le triomphe de la philosophie linéaire déchristianisée de l’Histoire est à dater de la Révolution française et de la controverse qu’elle a suscité dans toute l’Europe, on ne peut pas faire l’impasse sur l’intuition d’Edmund Burke, contemporain de ce grand chambardement, qui structure la pensée conservatrice. Contre l’obsession révolutionnaire de la mise à mort de l’ordre ancien au profit d’un progrès compris comme une sorte de deus ex machina, Burke croit à l’évolution. Pierre Glaudes parle de « sédimentation » : le présent se nourrit du passé et l’Histoire apparaît donc comme un mouvement de réforme ou de restauration permanente. C’est l’exact inverse de l’idéologie révolutionnaire et néo-idéaliste qui consiste en une dialectique de la destruction et de la reconstruction, le présent se construisant contre le passé.

    Plus radicaux, les auteurs de la Révolution conservatrice allemande prolongent l’intuition de Burke en rupture totale avec cette conception résolument moderne de l’Histoire. Armin Mohler, disciple d’Ernst Jünger et historien de la Révolution conservatrice, nous invite à considérer l’Histoire non pas de façon linéaire, ni même purement cyclique, mais sphérique, à la suite de Friedrich Nietzsche. Si l’idée hégélienne que nous avons définie autant que la conception cyclique de l’histoire sont frappées d’un certain fatalisme, concevoir le temps comme une sphère revient à considérer que toutes les bifurcations sont toujours possibles. Il n’y a plus de sens inévitable, de début ni de fin, de progrès ou de déclin contre lesquels toute tentative humaine serait vaine ! Le cycle n’a pas non plus totalement disparu, mais c’est une infinité de cycles différents que la sphère représente.

    Il y a donc une place pour l’inattendu, autant dire pour la volonté, chère aux nietzschéens. Ainsi Robert Steuckers, disciple d’Armin Mohler, écrit : « Cela signifie que l’histoire n’est ni la simple répétition des mêmes linéaments à intervalles réguliers ni une voie linéaire conduisant au bonheur, à la fin de l’histoire, au Paradis sur la Terre, à la félicité, mais est une sphère qui peut évoluer (ou être poussée) dans n’importe quelle direction selon l’impulsion qu’elle reçoit de fortes personnalités charismatiques. » L‘hypothèse de la résignation s’abolit totalement dans cette philosophie de l’Histoire, et il revient aux hommes de bonne volonté de donner forme au lendemain. Car la Révolution conservatrice allemande ne s’en remet guère à Dieu, à la Providence, ni à une vague idée de l’évolution de la société. Mais elle croit à l’incarnation et aux figures, au héros et aux chefs charismatiques.

    D’un côté, lenthousiasme béat et autodestructeur des progressistes dont « les conceptions linéaires dévalorisent le passé, ne respectent aucune des formes forgées dans le passé, et visent un télos, qui sera nécessairement meilleur et indépassable » (Steuckers). De l’autre, la passivité mortifère des réactionnaires qui peut conduire au nihilisme. Par contraste, on comprend que le conservatisme est un art de l’action et de l’appréhension du réel, et non pas seulement de la réflexion philosophique. Le conservatisme est une attitude qui convient à la réalité du temps présent et à la nécessité du choix, et non pas une posture contemplative.

    L’attitude conservatrice ou l’agir dans l’Histoire

    Le conservateur n’est pas figé dans le passé (ou dans le futur, dans la fuite en avant incarnée par le progressisme), mais bien ancré dans le présent. Non pas qu’il se contente bêtement d’approuver toute nouveauté, au contraire, son attitude consiste à préférer le familier à l’inconnu, la réalité du présent au futur incertain. Mais lorsque l’inévitable se produit, le conservateur refuse la résignation. Ainsi Michaël Oakeshott, dans Du Conservatisme, tente de décrire l’attitude conservatrice : « En outre, être conservateur ne signifie pas simplement être hostile au changement (comportement qui peut être idiosyncrasique) ; c’est également une manière de s’accommoder aux changements, activité imposée à tous. »

    L’exemple de la technique dans les années 1930, après le traumatisme causé par la Première Guerre mondiale, est frappant. Le réactionnaire s’insurge, vocifère contre cette technique aliénatrice et destructrice, prométhéenne et dégénérée… À croire qu’il envisagerait qu’on puisse la dés-inventer ! Face à cette réaction sans doute légitime mais néanmoins absurde, le conservateur avise : Ernst Jünger qui, mieux que quiconque, a vu la technique destructrice en action, fait naître quelques années plus tard l’idée d’une technique dite mobilisatrice. De même que Carl Schmitt s’appropriera l’idée de démocratie. Au régime parlementaire bourgeois, il oppose sa vision d’un lien fort entre la race et les chefs qu’elle se choisit. Du socialisme au bolchévisme, des sciences à la technique, la Révolution conservatrice allemande reprend toutes les innovations de son époque à son compte. 

    Le conservateur ne rejette pas par principe toute nouveauté. Il ne pourrait d’ailleurs la rejeter qu’intellectuellement, mais en aucun cas effectivement. Il l’admet, et se l’approprie. Il ne considère pas d’abord le changement comme foncièrement bon ou, à l’inverse, comme profondément mauvais, mais il entend le subordonner à des valeurs qu’il croit éternelles. Là est l’objet de sa démarche : conserver l’ordre élémentaire des choses dans l’Histoire en soumettant les réalités de son époque à quelque chose qui les transcende. Le conservateur ne s’oppose pas au temps qui passe, il s’oppose à la dégénérescence, au péril et à l’incertitude. Il n’entend pas conserver le temps passé, les idées du passé, les réalités du passé, mais simplement ce qui constitue le centre de gravité de cette sphère qu’est l’Histoire. C’est l’idée qu’un certain nombre de choses ne doit pas disparaître, à cause de la négligence, du mépris et du détachement et surtout pas de la destruction volontaire. Les progressistes l’ont dans le dos, les réactionnaires en pleine face, mais tous deux sont dans le vent. Paisible, le conservateur rit des agités des deux camps : lui, bâtit l’avenir les deux pieds dans le présent.

    Valentin Fontan-Moret (Philitt, 26 octobre 2015)

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  • Le surhomme de Nietzsche...

    Les éditions Pkp Verlag viennent de publier Le Surhomme de Friedrich Nietzsche, un essai de Pierre Kynast, traduit en français. Auteur de plusieurs ouvrages, Pierre Kynast se présente sur son site, que les germanistes pourront utilement visiter, comme philosophe indépendant.

     

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    " Ce livre est un pari. Un pari, car la philosophie nietzschéenne du surhomme est ici retracée sans la critiquer, sans l’édulcorer ni la diaboliser. Celui qui cherche une réponse à la question de savoir ce qu’il a en lui du surhomme de Nietzsche la trouvera ici -sans autoritarisme ni avertissement moralisateur. Il ne s’agit ici que de suivre le concept du surhomme à travers l’œuvre de Nietzsche, en intégrant nombre de ses dangereuses pensées et de les lier, en suivant les indications de Nietzsche, aux événements actuels de notre temps, par exemple au préambule de la constitution allemande. Avec Nietzsche le monde prend une couleur autre. Encore aujourd’hui - et peut-être plus qu’à aucun moment - le surhomme de Nietzsche demeure une philosophie pour après-demain dans la recherche de nouveaux philosophes. "

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